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26 mars 2008

BRESIL carnets de route

25456198_1_BRESIL

Capitale : BRASILIA

Superficie : 8 511 965 Km2, divisés en 26 Etats

Population : 186 000 000 habitants

Monnaie : real    Religion : 75 % catholique

langue officielle : portuguais du Brésil

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26 mars 2008

Après 15 minutes de formalités les douaniers nous souhaitent « bon Voyage ». Comme il est interdit d'entrer avec des1_CAPYBARA produits frais, (fruits, viande, oeufs), nous planquons tout, mais en fait personne ne nous contrôle.

Sur la route de Rio Grande, quelques Capybara se prélassent dans les lagunes, ce sont les plus gros rongeurs du monde de la taille d'une chèvre.

En attendant, nous avons bien failli tomber en panne de gasoil, notre dernier plein datait de Buenos Aires (1100 km).

2_PLAGE

Nous quittons Rio Grande par le pont des français, puis nous circulons sur la plage, comme tout le monde, pour rejoindre Cassino.

Ce soir, nous3_HABITATIONS allons au camping, les habitations des quartiers péripéhriques ne nous inspirent pas confiance. En plus, argentins et uruguyens nous ont recommandé la prudence au Brésil.

C'est vrai qu'avec 55 000 meurtres par an, ce n'est pas le pays le plus sûr.

Au Brésil,4_INFOS_TOURIST nous roulons beaucoup, le pays est grand comme 15 fois la France, et les sites à visiter sont très dispercés. Dans les nombreux offices du tourisme, le personnel accueillant nous donne beaucoup d'explications mais déjà qu'en Espagnol nous ne comprenions pas grand chose, en Portuguais, nous ne comprenons rien du tout, mais ils nous fournissent des cartes et des plans qui nous sont souvent bien utiles.5_ITAIMBEZINHO

Dès que nous attaquons la montagne, le temps devient orageux et c'est 6_PISTEsous la pluie que nous arrivons au Canyon d' Itaimbezinho.

Aujourd'hui, 40 km de piste pour rien, lorsque nous arrivons au Canyon de Fortaleza, le brouillard est tellement important qu'on n'y voit pas à 5 mètres.7_POUSSADA

Etape au camping de la GAUCHOPoussada Corucaccas,

sur la piste nous croisons quelques gauchos, (cow boy Brésilien)

29 mars 2008, encLAGUNAore un anniversaire, tant que je ne prends pas de « dizaine », c'est cool.

Nous rejoignons la côte à Laguna, petit centre historique bien conservéDAUPHINS, belles plages de sable,

et endroit idéal pour observer les dauphins et les baleines franches.

Nbaieous passons quelques jours sur 61_S_KARGOla côte près de Florianopolis dans le jardin de Fabienne et Alain,

http://www.hylas.ws des grands voyageurs, eux aussi.

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Après avoir parcouru le monde pendant 13 ans à bord d'un voilier, et ensuite avec leuALAIN_FABIENNEr S-Kargo, ils ont décidé de poser leurs sacs dans cette magnifique baie.   

Nous apprécions beaucoup la cuisine de Fabienne dont son poulet sauce «coco », et  la Caïpirinha,  préparé par Alain  (cocktail à base de citron vert et de rhum blanc),  mais il faut bien reprendre la route.

Dimanche 6 avril, après une journée sur la presqu'île de Floripa où nous avons profiter de la plageW_V de sable, nous repassons en ville, nous nous arrêtonsSao_francisco_do_sul le long d'une avenue où se donnent rendez-vous les propriétaires de  coccinelles. (construites sur place en très grande quantité pendant des 84années).

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San Francisco de Sul, petite presqu'île bien tranquille, petit centre historique avealain_et_sa_sir_nec son église, ses rues colorées.

Alain a rencontré une Sirène.

Nous admirons ces deux magnifiques sculptures érigees pour fêter les 500 ans de la découverte de l'île .

1504

2004___ILE_SAO_FRANCISCO

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Depuis que nous remontons vers le Nord du Brésil, nous constatons que la population est plus colorée.

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GUARATUBALE_CHRIST_GUARATUBA, petite cité 104_GUARATUBAbalnéaire,  le Christ dominant la plage, et l' Eglise ancienne.

Nous prenons un bac pour changer de rive et approcher d'une réserve écologique.

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Le temps de visiter Morretes, mais 113_ANTONINAnous avons préféré126 Antonina (son théâtre).

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Mercredi 9 avril,

nous faisons une randonnée dans la forêt humide de Porto de Cima, le temps d'observer quelques papillons131, fleurs,117 oiseaux. .122.

Nous quittons la réserve par l'ancienne allée pavée Gracioza qui rejoint la BR (autoroute) direction Sao Paulo - Santos que nous traversons en longeant les plages.

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Vendredi 12 avril.

Nous nous arrêtons à Paraty, jolie petite cité coloniale  intacte, avec ses rues pavées de grosses pierres irrégulières. 1_PARATY__VILLE

2_PARATY_EGLISE

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Nous faisons étape au camping face à la plage, ce qui nous permet de sortir le Zodiac pour explorer la baie, les nombreuses îles et les  plages désertes.

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4_REP_BAIE

3_ZODIAC

Alain en profite pour faire quelques réparations, étanchéité des fenêtres, collage du cadre de la porte, modification du faisceau électrique.

Après 6 jours de plage, et un arrêt à Recreio dos Banderantes, (40 km avant  Rio) nous rejoignons Rio de Janeiro.

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Dimanche 20 avril 2008. 5_PAO      

Suivant une indication de la famille

6_FAVELAS

Marais  (périple vert) nous bivouaquons sur le parking du Pain de Sucre devant l'Ecole militaire et la petite plage de Vermelha.

Ceci permet d'être au coeur de la ville dans un endroit sécurisé.

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Profitant du temps clair nous montons au Pain de Sucre (Pao d'Azucar) par7_COPA_CAMP_LA_NUIT deux téléphériques sucessifs. La vue est exceptionnelle, et nous comprenons mieux la topographie particulière de la ville construite entre les collines.

De loin, nous voyons  le Christ Rédempteur sur le Corcovado qui domine la ville du haut de ces 700 m, les favelas et les fameuses plages dont Copacabana. À gauche sur la photo

Comme le dimanche le quartier commerçant appelé Centro est désert, nous attendons le lundi pour nous y rendre.

Mais pas de chance, à part des gamins qui font leur toilette dans le caniveau, qui font sècher leur linge au dessus des grilles du métro, toutes les boutiques sont fermées. Nous ne nous attardons pas dans ce quartier peu sur. Nous apprenons plus tard que c'est un jour férié.

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A proximité,  il existe le départ d'un antique tram 8_TRAMqui nous emmène dans le quartier de Santa Téresa, une seule voiture qui brinquebale à l'assaut de la colline.

Très pittoresque.

A midi, nous mangeons dans un res9_THEATRE_INTERtaurant typique avec  Jean-Louis et Cathy qui naviguent autour du monde à bord d'un catamaran. En resdescendant, nous flânons autour de la Plaza Floriano, découvrons son théâtre municpal  construit en 1906 dans le style de l'Opéra de Paris.

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Un petit clin d'oeil :  si vous avez oublié votre numéro de téléphone favori, vous en trouverez plein à l'intérieur des cabines téléphonique11_CABINEs....10_CABINE

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Lundi 22 avril 20081

La nationale 102 se faufile entre les dunes de l'océan et la lagune d'Arauama sur plusieurs dizaines de kilomètres. Lorsque que le soleil à fini d'évaporer l'eau salée amenée par les éoliennes, les saliniers ramassent le sel qu'ils stockent sous de grands hangars.

Arrivés à Cabo Frio (le cap froid ! !) où il fait toujours aussi chaud, nous allons2 au Camping Clube do Brasil. Situé au bord du canal qui relie la lagune à l'océan, (c'est peut-être pour ça qu'il y a tant de moustiques) il est assez éloigné du centre ville et des plages, mieux vaut être motorisés.

Après avoir gonflé le zodiac, nous sillonnons les canaux, les ports et les marinas. Si 35% des brésiliens sont pauvres (ça fait quand même plus de 60 millions de personnes), d'autres vivent dans de superbes villas avec le yacht amarré au ponton ou l'hélicoptère posé sur la pelouse.

.3

Construit en 1696, le couvent et l'église « Notre Dame des Anges » d'architecture typiquement franciscaine, domine la ville et  ses canaux.

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.4

Pour rejoindre les plages un peu éloignées, nous enfourchons notre Dax Honda. Les gens sont tellement surpris de nos voir circuler sur cette mini moto qu'ils nous regardent comme des bêtes curieuses.  Dès que nous nous arrêtons ils viennent nous faire de grands discours (auxquels on ne comprend rien) et lèvent le pouce pour dire que c'est super.

Certaines plages comme Conchas 6 forme un cercle presque fermé, d'autres comme Prainha se terminent contre les rochers, mais toutes sont de sable blanc fin comme de la farine. Malgré la période tardive, durant le week-end, les plages sont noires (enfin café au lait) de monde.

7

Des dizaines de camelots arpentent les plages pour vendre vaisselle, noix de coco, glaces, lunettes, boissons, colliers, crevettes, sandwichs, ballons, cerf volants...et toutes sortes de vêtements et pourtant, un rien les habille. D'ailleurs, même en ville les tenues sont légères ; pour le plaisir des yeux. 

On ne comptait8 rester que deux ou trois jours à Cabo Frio, mais avec toutes ces balades, la bronzette, les courses, quelques travaux d'entretien, surtout le renforcement de l'isolation du réservoir d'eau chaude, on a fini par y passer la semaine !

La légende raconte que Buzios a été découverte par Brigitte Bardot dans les années 60. C'est sûrement vrai puisqu'elle est toujours là, assise sur sa valise en carton, face à la mer, à regarder les pêcheurs (en bronze) qui relèvent leurs filets. 910

A part le "Centro" qui n'a rien d'extraordinaire, le reste de la ville est dispersé le long d'un labyrinthe de petites rues pentues. Mais Buzios, c'est surtout une péninsule très découpée, accidentée, sauvage et cernée de 26 plages pas toutes faciles à atteindre avec un camping car. On est bien contents qu'il ne soit pas plus gros. 

Ici le buggy est une vraie religion, il permet de passer partout et auxVW pécheurs (amateurs11) de rouler sur les plages. Et pas de problème pour les pièces détachées, Volkswagen est toujours la marque N°1 au Brésil et les vieux combi dont la production a été arrêtée depuis 30 ans en Europe a toujours l'air de se poursuivre ici.

La route serpente entre l'océan et les collines recouvertes de caféiers. Dans le sud les nombreux ralentisseurs qui jalonnent les villages étaient bien signalés, mais ce n'est plus toujours le cas et malgré notre surveillance assidue et des coups de freins brutaux, on se prend quelques fois de sacrés vols planés. Malgré les ponts cassés qui ne sont pas signalés non plus, aujourd'hui on a bien roulé. 12

11B

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En fin d'après midi, on arrive au camping de Guarapari situé au bord d'une petite plage (presque) privée.

Depuis 6 semaines que nous sommes au Brésil, c'est seulement la deuxième fois que nous rencontrons des voyageurs. Jean-Pierre et Esther13 sillonnent l'Amérique du sud depuis trois ans à bord de leur Toyota. Nous qui pensions que c'était le meilleur véhicule pour les voyages au long cours, ils ont eu pleins de soucis mécanique et on même failli rentrer car ce véhicule étant inconnu ici, personne ne voulait ouvrir le moteur. Nous on s'en fout, on roule en Fiat, ici ils connaissent (deuxième marque au Brésil) et en plus tout marche bien. Pourvu que ça dur, ça ne sera sûrement pas toujours le cas. 

Le « guide du routard » écrit que dans cet état il n'y a pas de problème de sécurité. C'est sûrement parce qu'on vient d'entrer dans l'état du Saint Esprit (Espirito Santo). Bon, nous on va quand même faire un peu attention car on a des amis qui se sont fait braquer sur la plage par une bande de gamins .http://lesderoutes.com.

Dimanche 4 mai 2008243_colines_caf_

Ca y est, nous avons quitté la côte et le "Saint Esprit" pour rejoindre les collines où pousse le café. Café, Brésil, vous voyez le rapport....parce que celui que vous buvez au petit déjeuner vient surement d'ici. Mais l'état du Minas Gerais (mines générales), c'est avant tout le premier producteur de minerai de fer, d'or et de diamant.

.246_OURO_PRETO

Villa Roca (ville riche), fut fondée au XVIIieme. Mais après la découverte des premières pépites d'or qui étaient recouvertes d'une pellicule noire d'oxyde de fer, la ville fut rebaptisée Ouro Preto , Or noir.

291_CAMPING

Nous nous arrêtons au camping à l'entrée de la ville. A part notre camping-car, il y a deux tentes. Avec l'altitude (1200 m), il n'y a plus de moustique, mais il a fallu remettre la couette, car si les journées sont chaudes et ensoleillées, les nuits sont fraiches (13°).

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256_STATUESur la place centrale, s'élève la statue de Tiradentes, qui reste encore aujourd'hui,  un symbole pour tous les Brésiliens.

C'est à Ouro Preto, vers 1790, qu'il commença la lutte pour l'indépendance du pays, mais avant que l'insurrection fromentée ne se produise, il fut arrêté et pendu sur la place qui porte maintenant son nom.

CHICOAu début du XVIII ième siècle, le congolais Chico Rei fut vendu comme esclave pour travailler à la mine d' Ouro Preto. Après quelques années, cette mine qui ne donnait plus d'or fut cédée à Chico qui peu après y trouva.......de l'or, tellement d'or qu'il racheta sa liberté et celle de son clan.

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Avec toutes ces richesses, la ville connut un développement rapide se couvrit de riches demeures, de fontaines sculptées et d'une quinzaine d'églises à la décoration somptueuses.  L'Igreja Nossa Senhora do PilarMONTAGE_EGLISES est un exemple parfait de l'art baroque rococo avec ses colonnes et ses arches surchargées d'anges, d'arabesques et de frises florales. Croulant sous les matériaux précieux, elle aurait nécessité plus de 430 kg d'or.

Ouro Preto est une très jolie bourgade qui a gardé ses maisons coloniales, ses façades colorées, ses fontaines, ses toits de tuiles patinées et ses  encadrements de fenêtres colorés.MAIS_COLONIALE Mais le plus fou, ce sont ses rues pentues. On avait jamais vu ça, elles sont tellement pentues que certaines ne circulent que dans un sens et la plupart des piètons montent en zig zag comme on fait en montagne. Même notre petite moto a bien de la peine et Claude est  obligée de descendre car lorsque je monte, elle se cabre et devient incontrôlable, (la moto, évidemment).

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VAGONETSC'est proche de Mariana (à 12kms d'Ouro Preto) que fut trouvée la première pépite d'or. Après plus de 35 tonnes d'or extrait, la mine de Passagem ferma ses portes en novembre 1985. C'est en empruntant les wagonets brinquebalants mus par un treuil à air comprimé (d'époque) que l'on descend à 130 mètres sous terre; ambiance Indiana Jones garantie.

Des immenOR_1ses galeries qui partenOR_2t dans tous les sens, étaient extraites des roches, qui une fois remontées à la surface, concassées et lavées, laissaient apparaître l'or.

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Aujourd'hui, nous avons bien roulé.DIAMANTINA Malgré les nombreux camions et quelques tronçons de goudron déformés, nous ayons parcouru plus de 360 kilomètres de route de montagne pour rejoindre Diamantina. Comme son nom l'indique, du diamant à été découvert ici début du XVIII ième.

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Cette petite bourgade aujourd'hui un peu oubliée a gardé ses ruelles grossièrement dalléesRUE_PAV2ES, ses balcons en fer forgé, ses fontaines et ses maisons FONTAINEgroupées autour de son vieux marché.

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Jeudi 8 mai 2008

La route qui nous conduit vers Brasilia traverse des paysages vallonnésPAY_VALONES alternant garrigues et de pâturages. Pas facile de faire du camping sauvage malgré ces grandes étendues presque vierges. On a l'impression que les premiers colons qui sont arrivés, sont allés acheter des piquets et des barbelés et ont clôturé tout ce qu'ils ont pu.

D'ailleurs chaque fazenda (ferme d'élevage) fait des milliers d'hectares.

Du coup, le plus simple pour nous (pas forcement le plus silencieux), MONTAGE_MOTELc'est de bivouaquer avec les routiers dans les "Postos". Dans ces stations service, on peut tout faire, se laver (douches, wc), boire et manger (plusieurs bars/restaurants), dormir à l'hotel, faire ses courses, aller chez le coiffeur, regarder la télévision et éventuellement prendre du carburant.

On avait bien pensé aux motels, plus calmes et plus discrets, mais comme le suggère les enseignes, ils sont plutôt réservés aux plaisirs galants. N'allez pas croire que les Brésiliens sont plus "galants" que les autres, mais ici les familles sont nombreuses et les couples légitimes ou non n'ont pas forcément d'endroit où se faire des calins !

Surprenante  BRASILIA : Utopie ou génie ? Toujours est-il qu'en 1960 le Président J K (Juscelino Kubitschek) se lance  dans le plus grand projet des temps moderne, un projet pharaonique : créer la nouvelle capitale d'un pays de plus de 180 millions d'âmes. 1000 jours plus tard, pari gagné, Brasilia était néeBRASILIA_PLAN.

Dans le but de décongestionner la côte et pour démontrer la volonté du  gouvernement de développer toutes les régions du Brésil, la région du Sartao, pauvre et perdue aux confins de l'Amazonie fut choisie .

Au début, il fallut défricher des milliers de kilomètres carrés, créer des routes (les premiers bulldozers furent parachutés) et creuser un lac de 42 kilomètres de long.

Dans le projet de l'architecte Oscar Niemeyer, Brasilia devait symboliser le mode de vie futur idéal. Vu du ciel, le plan de la ville rappelle celui d'un avion. Le fuselage est "l'axe des monuments publics" et d' immenses espaces verts cernés par de gigantesques avenues. C'est la que s'élèvent les monuments à la gloire de JK, de Niemeyer, la cathédrale, les ministères (7 blocs de chaque côté, tous pareil, pas de jaloux!) et les autres institutions.

Au niveau de la gare routière, partent les ailes le long desquelles s'alignent les blocs d'habitations, chacun conçu pour loger 3000 personnes et toute la vie nécessairBRASILIAe à la vie des habitants.

C'est la cité du gigantisme : voies de circulations, échangeurs pour éviter les feux, les pelouses et bien sur les distances. D'ailleurs on ne marche pas dans Brasilia, on circule en voiture ou en bus.

Les constructions sont souvent pleines de symboles. Niemeyer disait : "j'ai éloigné les colonnes des palais, je les ai faites avec des courbes et des droites qui permettent au public de se promener entre elles".

Conçue pour 400 000 personnes au départ, Brasilia compte aujourd'hui plus de 2 millions d'habitants, et Oscar (Niemeyer) qui aura 101 ans cette année, comptemple son oeuvre.

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auberge

Le camping officiel, aux dimensions pourtant imposantes a l'air fermé depuis quelques années, et c'est donc dans le jardin de l'Auberge de Jeunesse voisine que nous séjournons. A part un Suisse qui circule en bus et en avion, toujours aucun voyageur à l'horizon. Heureusement, il y a Internet à discrétion et cela nous permet de communiquer avec d'autres amis voyageurs et de mettre le site à jour. 

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